De l’impressionnant chantier de Center Parcs a émergé la certitude que les entreprises membres de CSI Réseau plaçaient la synergie d’action au rang de priorité.
Tous les trois n’ont de cesse de vanter les mérites de l’autre et le bonheur d’avoir présidé ensemble à la concrétisation d’un chantier exemplaire.
« Historique », renchérit Louis Fabre. Pour le responsable de site de Miroiterie Mélusine, comme pour ses homologues de Delhoume et Morillon, la sortie de terre du Center Parcs de Morton-Les Trois-Moutiers restera sans doute longtemps ancrée dans la mémoire collective des trois entreprises. « Et de tout CSI Réseau », complète Laurent Hugot, chargé d‘affaires chez Delhoume, en évoquant le renfort d’équipes de CSI Bâtiment La Rochelle et Lecomte.
Par-delà l’ampleur des travaux effectués, c’est la synergie d’action de tous les protagonistes qui fait la fierté des uns et des autres.
« Nous avons été les premiers à être sélectionnés, rappelle Louis Fabre. Morillon, lui, a bénéficié de la défaillance de la société initialement retenue pour les menuiseries. Sa réactivité a été sa force. En quinze jours, ses équipes étaient prêtes à relever
le défi. Et elles l’ont fait, rejointes par Lecomte et Champigny Segelles, de manière remarquable.» »

Au plus fort de la « tempête », soixante-dix collaborateurs étaient présents sur le chantier. Ceux de Miroiterie Mélusine, les premiers à entrer en scène, donc, en février 2014, ont eu à « avaler » la totalité des ouvertures alu et métalliques du centre aquatique et des bâtiments administratifs. « Une gestion complexe, mais une belle satisfaction au final », sourit l’intéressé.

Delhoume, lui aussi, est intervenu sur la « bulle » aquatique et la partie administrative, pour les lots « plaques de plâtre » (1 300 m2 tout de même !), « plafonds suspendus », « plafonds décoratifs » et « isolation ». L’entreprise a également oeuvré dans
les annexes (ferme des enfants, poney club, center bike, accueil, maison forestière…). « Nous avons travaillé en flux tendu, reconnaît Laurent Hugot, avec de la matière première acheminée en direct de l’usine. L’effervescence était indescriptible. »

De décembre 2014 à juin 2015, vingt-trois salariés de l’entreprise (1,5M€ de chiffre d’affaires) ont ainsi été impliqués dans ce chantier colossal. Vous avez dit historique ?